
Nicole Rodoni
Tarifs
à partir de CHF 120.00 / heure
facture / en espèces
Vision et modèle
Mes valeurs sont:
- le respect de tout être vivant et donc de toute personne
- l'empathie
- l'écoute bienveillante
Bien prendre soin de l'être humain signifie pour moi une approche holistique ou chaque aspect de la personne est pris en compte.
Domaine d’activité
L'Ortho-Bionomy est une technique simple et efficace qui permet l'exploration des messages du corps : de sa texture physique à sa dimension émotionnelle (et énergétique). Par l'écoute, la stimulation des réflexes auto-correcteurs du corps et l'accompagnent de la réponse, le corps peut avoir une nouvelle compréhension de ses tensions et les réguler.
Méthode douce adaptée à toute âge/toute pathologie, notamment lors de : douleurs, tensions et déséquilibres de la structure (torticolis, sciatique, lombalgies) ; restrictions de mouvement, douleurs aux articulations ; troubles fonctionnels tels que douleurs viscérales, certains maux de tête, trouble de la digestion, du sommeil. Véritable soutien pendant la grossesse et le post-partum ; excellente aide lors de séquelles suite à un choc ou un traumatisme…
Actualités
au cabinet toutes les mesures de prévention-hygiène actuelles sont respectées. Veuillez apporter votre masque svp
Transport individuel
Sortie Yverdon-ouest, direction Ste Croix, suivre la route de Mathod, continuer Rue du Village, quand vous arrivez au village Essert-sous-Champvent, prendre à gauche sur la Route du Centre. Le no 6 sera sur votre droite sous le clocher. Le cabinet se trouve au rez de chaussée.
Transport public
Train: prendre direction Ste-Croix, descendre arrêt Essert-sous-Champvent et marcher 10 minutes
Bus no 602, descendre arrêt Essert-sous-Champvent, le cabinet est sous le clocher
Accessibilité
ascenseur ou rez-de-chaussée / accès sans barrières / parking à proximité / places de parking privées / à proximité d’un bus ou d’un train
Formations
2001 infirmière niveau 2 (travail au CHUV pendant 18 ans)
2008 cabinet Lotus Santé (Reiki, Massage Métamorphique, Réflexologie plantaire, réflexologie amérindienne, Ortho-Bionomy, ...)
2018 Infirmière petite enfance
2019 Cabinet interdisciplinaire Medeo Santé
2020 Infirmière instructrice BLS-AED
2020 Thérapeute au centre Revital (Rasses)
Associations et adhésions
ASOB
Enregistré(e) au RME
depuis mai 2019
Medecine Intégrative, article de Lausanne Cité, avril 2019
Une approche globale, centrée sur la personne.
Le concept a de plus en plus le vent en poupe et plaît, tant aux praticiens qu’aux patients. La médecine dite intégrative vient en effet concilier deux approches de la santé, que l’on a longtemps, arbitrairement et à tort, opposées: la médecine classique académique, celle de la Faculté avec un grand F, et les médecines complémentaires, dites douces ou encore complémentaires.
«La médecine intégrative, c’est la collaboration de la médecine académique et des médecines complémentaires pour obtenir de bons résultats dans la prise en charge des maladies, surtout quand celles-ci sont chroniques, explique la doctoresse Gabrielle Genton-Bürgisser, médecin FMH en médecine générale, homéopathe et spécialisée en thérapie neurale au centre Medeo santé qui vient d’ouvrir ses portes à Renens, justement sur le credo de la médecine intégrative. C’est une approche moderne qui met le patient au centre du système et dans laquelle écoute et respect font partie du processus de guérison».
De plus en plus plébiscités par le public, de nombreux centres de médecine intégrative ont ouvert en Suisse alémanique, alors qu’aujourd’hui le concept gagne désormais la Suisse romande. «Faire travailler ensemble des thérapeutes de toutes les approches est très positif pour le patient, observe Nicole Rodoni, infirmière, thérapeute et réflexologue, également au centre Medeo. Chaque soignant appréhende les patients sous une réflexion différente, ce qui améliore grandement sa prise en charge. C’est au fond ce qui se passe dans les hôpitaux, mais ici on ajoute une dimension de médecines complémentaires».
L’intérêt de regrouper tous les thérapeutes sous un même toit, une démarche vieille comme la nuit des temps et qui effectivement a conduit à la naissance de l’hôpital, ne se discute plus de longue date. «Entre thérapeutes on se connaît, avec nos forces et nos limites, ajoute Nicole Rodoni. Nous ne sommes pas en compétition, et au contraire, on s’adresse volontiers les patients les uns aux autres, ce qui limite les déplacements de ces derniers, tout en nous permettant de mieux réfléchir à chaque cas. C’est cette fluidité, cette efficacité et ce gain de temps qui permettent de centrer la démarche de soins sur la personne elle-même».
«Dans un centre de médecine intégrative, conclut Gabrielle Genton-Bürgisser, le patient n’est pas stressé, ni pris entre deux chaises, car il entend le même discours, qu’il s’agisse de médecins «classiques» ou de soignants en médecines complémentaires. Car dans les deux cas, le message est le même, puisqu’il vise à faire en sorte que le patient devienne acteur de sa propre santé en intégrant harmonieusement les différentes démarches qu’on lui propose. Le résultat, c’est qu’une démarche intégrative permet souvent pour les patients souffrant de maladies chroniques de diminuer les médicaments, qui ont l’inconvénient d’induire des effets secondaires».
Le concept a de plus en plus le vent en poupe et plaît, tant aux praticiens qu’aux patients. La médecine dite intégrative vient en effet concilier deux approches de la santé, que l’on a longtemps, arbitrairement et à tort, opposées: la médecine classique académique, celle de la Faculté avec un grand F, et les médecines complémentaires, dites douces ou encore complémentaires.
«La médecine intégrative, c’est la collaboration de la médecine académique et des médecines complémentaires pour obtenir de bons résultats dans la prise en charge des maladies, surtout quand celles-ci sont chroniques», explique la doctoresse Gabrielle Genton-Bürgisser, médecin FMH en médecine générale, homéopathe et spécialisée en thérapie neurale au centre Medeo santé qui vient d’ouvrir ses portes à Renens, justement sur le credo de la médecine intégrative. C’est une approche moderne qui met le patient au centre du système et dans laquelle écoute et respect font partie du processus de guérison».
De plus en plus plébiscités par le public, de nombreux centres de médecine intégrative ont ouvert en Suisse alémanique, alors qu’aujourd’hui le concept gagne désormais la Suisse romande. «Faire travailler ensemble des thérapeutes de toutes les approches est très positif pour le patient, observe Nicole Rodoni, infirmière, thérapeute, réflexologue et orthobionomiste également au centre Medeo. Chaque soignant appréhende les patients sous une réflexion différente, ce qui améliore grandement sa prise en charge. C’est au fond ce qui se passe dans les hôpitaux, mais ici on ajoute une dimension de médecines complémentaires»
L’intérêt de regrouper tous les thérapeutes sous un même toit, une démarche vieille comme la nuit des temps et qui effectivement a conduit à la naissance de l’hôpital, ne se discute plus de longue date. « Entre thérapeutes on se connaît, avec nos forces et nos limites, ajoute Nicole Rodoni. Nous ne sommes pas en compétition, et au contraire, on s’adresse volontiers les patients les uns aux autres, ce qui limite les déplacements de ces derniers, tout en nous permettant de mieux réfléchir à chaque cas. C’est cette fluidité , cette efficacité et ce gain de temps qui permettent de centrer la démarche de soins sur la personne elle-même».
«Dans un centre de médecine intégrative, conclut Gabrielle Genton-Bürgisser, le patient n’est pas stressé pris entre deux chaises, car il entend le même discours, qu’il s’agisse de médecins «classiques»_ou de soignants en médecines complémentaires. Car dans les deux cas, le message est le même, puisqu’il vise à faire en sorte que le patient devienne acteur de sa propre santé en intégrant harmonieusement les différents démarches qu’on lui propose. Le résultat, c’est qu’une démarche intégrative permet souvent pour les patients souffrant de maladies chroniques de diminuer les médicaments, qui ont l’inconvénient d’induire des effets secondaires». n
Charaf Abdessemed